vendredi 29 avril 2011

Vaincre les Maladies Lysosomales V.M.L. Partenariat avec l'ASSE - lancement du jeu SMS

Dans le cadre du match AS St Etienne- AS Monaco qui aura lieu dimanche 30 avril 2011 à 21h (voir ce lancement sur www.leo-le-lysosome.com ) une quarantaine de personnes, familles VML et bénévoles, vont assurer une distribution de flyers et ballons aux entrées du stade de manière à promouvoir le jeu SMS et l'association VML, avant de pouvoir assister au match.

Le jeu : il s’agit d’envoyer par SMS - LEO au 71028 … pour gagner des ballons dédicacés et des maillots des joueurs – des cadeaux pour les fans !

Le mieux est d’essayer : Envoyez LEO au 71028 (0.50 cts d’euros + sms par envoi), Pour des questions techniques et pouvoir obtenir les coordonnées des joueurs, le jeu se déroule en 2 étapes sms.

Après une première visite de Léo à St Etienne (c’était le mercredi 6 avril – revoir ici), le match de dimanche est le 2eme temps de ce partenariat.

Au cours de l’échauffement, les joueurs porteront un maillot Leo le lysosome et un petit film (voir blog Leo) de promotion du jeu sera diffusé sur les écrans géants du stade.

En termes de communication :

- Le club de l’ASSE a fait une info sur son site officiel, ainsi que sur son facebook. Les réactions des supporters sont positives vis-à-vis du soutien de leur club à VML, et les premiers SMS commencent à être enregistrés.

- Radio SCOOP, radio régionale, va aussi promouvoir l’opération sur son antenne.

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jeudi 21 avril 2011

C2DS 29 avril à BORDEAUX : Gestion des déchets solides Hospitaliers

c2ds - Comité pour le développement durable en santé


Programme de Formation du C2DS Vendredi 29 avril 2011


à BORDEAUX :


Gestion des Déchets Solides Hospitaliers.


Inscrivez-vous vite au 02 47 30 60 34 ou


virginie.chamart@c2ds.eu


Programme

lundi 18 avril 2011

Parution Journal Officiel du 16 avril 2011

Arrêté du 6 avril 2011 relatif au management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse et aux médicaments dans les établissements de santé. En savoir plus

dimanche 17 avril 2011

Opération "HASARD' DON" V.M.L.2011

Voici une initiative solidaire originale et qui peut rapporter gros ! Faites un don à "Vaincre les Maladies Lysosomales" et tentez votre chance pour gagner une Citroën C3 1.1i BVM Attraction et de nombreux autres lots*.

Du 12 avril au 23 juin 2011 se déroule la grande campagne nationale d'appel aux dons baptisée Hasard'Don. Pour y participer, joignez l'un des nombreux animateurs qui collectent les dons et distribuent les tickets-jeu. Ces tickets-jeu vous permettront de participer au tirage national qui se tiendra le 25 juin prochain, à 14h00, au siège de l'association. Réalisé sous contrôle d'huissier, ce tirage au sort permettra d'attribuer 22 lots, dont le premier est particulièrement prestigieux, puisqu'il ne s'agit rien moins que d'une voiture.

Pour obtenir un plus pour votre action de soutien, un reçu fiscal (déduction d'impôts de 66%) vous sera adressé à partir de 10 euros (équivalent à 5 billets).

Remise d'un billet contre un don de 2 euros, les carnets sont constitués de 5 billets, mais rien n'empêche de prendre le nombre que vous souhaitez (ex. : 1, 2, ..5, ...10, etc...), si vous le souhaitez.

*Liste des lots par ordre d'attribution

1 Citroën C3 1.1i BVM Attraction

1 semaine en gîte de France pour 4 personnes, à prendre hors période juillet-août, à Kerlouan, Finistère (n°18200)

2 week-ends à Cahors pour 2 personnes comprenant 2 nuits en demi-pension (offerts par Hôtel Kyriad), 1 croisière autour de la ville et 1 balade en petit train

3 GPS Garmin Nüvi 1340T "Carte à vie" (offert par Garmin)

2 coffrets Wonderbox "Sensation pilotage"

2 coffrets Smartbox "Aventure à deux"

10 bons d'achat de fleurs de 37 euros offerts par Aquarelle.com

Michel Babec
Membre du C.A.de V.M.L.
Responsable V.M.L. Antenne Picardie
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mercredi 13 avril 2011

Infections à l'hôpital : un défi permanent

Le Figaro se penche sur les infections nosocomiales, notant que « depuis la fin des années 1980, les autorités sanitaires ont mis en place un ensemble de mesures de surveillance et de prévention qui impliquent désormais la très grande majorité des établissements de santé ».
Le journal évoque ainsi un « défi permanent » et indique que « la dernière enquête de prévalence en France, réalisée en 2006, montre une diminution d'environ 10% des infections nosocomiales depuis 2001 ».
Le Figaro rappelle notamment que « les germes responsables des infections nosocomiales, le plus souvent des bactéries, proviennent des patients eux-mêmes mais également du personnel de soin, du matériel de soin et des surfaces qui entourent les patients. Ils provoquent en majorité des infections urinaires (30,3%), des infections du site opératoire (14,2%) et des pneumopathies (14%) ».
« Les trois bactéries les plus fréquemment responsables des infections nosocomiales en France sont Escherichia coli (25%), Staphylococcus aureus (19%) et Pseudomonas aeruginosa (10%), des bactéries normalement présentes dans l'organisme humain mais qui peuvent parfois déclencher des infections »,
poursuit le quotidien.
Le journal retient que « les facteurs de risque sont l'âge, le sexe masculin, une maladie sévère, l'immunodépression, un antécédent d'intervention chirurgicale dans les 30 jours et l'exposition à des dispositifs invasifs comme un cathéter vasculaire, une sonde urinaire ou une intubation d'aide respiratoire. C'est la raison pour laquelle les infections nosocomiales sont plus fréquentes dans les services de réanimation ».
Le Figaro observe que « les équipes réfléchissent en permanence à de nouvelles façons de réduire ce risque, notamment en limitant le temps d'intubation pour la ventilation ou en désinfectant fréquemment les points d'entrée possibles pour les bactéries ».
Le journal explique que « l'hygiène des mains reste la base des mesures de prévention, et les solutions hydroalcooliques ont démontré leur intérêt notamment sur la réduction des infections à S. aureus. […] Pour certains soins, l'utilisation de gants et de tabliers jetés immédiatement permet d'éviter la diffusion des germes ».
« Les patients peuvent également jouer un rôle dans la prévention en respectant des instructions spécifiques comme se laver les dents avec une attention particulière une semaine avant une intervention chirurgicale, être minutieux pendant la douche antiseptique, ne pas toucher les sondes, cathéters et drains qui ont été posés, toujours se laver les mains après usage des toilettes »,
continue le quotidien.
Revue de presse rédigée par Laurent Frichet
TSAVO PRESSE

1er WORKSHOP FRANÇAIS SUR LA PHAGOTHERAPIE

Une réunion nationale sur la phagothérapie vient de se dérouler sous la forme d’un atelier de travail sur le site prestigieux de l’école de formation du Service de Santé des Armées du Val de Grâce à Paris. Elle était organisée par le GEEPhage créé il y a 4 ans par le GEEP, Groupe d’Etudes Epidémiologiques et Prophylactiques, afin de promouvoir et développer la phagothérapie. Ce « workshop » a permis de réunir le 30 mars 2011 plus de 40 personnes d’origines variées : microbiologistes, chercheurs et cliniciens infectiologues, orthopédistes, spécialistes des brûlés, réanimateurs, civils et militaires, membres de l’Afssaps, de la Direction générale de la santé (DGS), membres de groupements professionnels (SPILF, OrthoRisq) ou d’associations de patients (le Lien). Des collègues étrangers, impliqués dans la phagothérapie sont venus de Belgique et surtout de Géorgie, nous faire partager leur riche expérience.

Après une brève présentation de la journée, ont été abordés les problèmes réglementaires, frein important dans le développement de la phagothérapie en Europe. Les bactériophages restent des médicaments « ordinaires » avec toutes les contraintes de production que cela impose, malgré une demande d’identification comme produit « particulier ». En effet, l’utilisation des bactériophages doit souvent être un traitement à la carte, adapté à la ou les bactéries responsables de l’infection.

Cette production (isolement, amplification, adaptation et production) de bactériophages développée depuis les années 30 en Géorgie, à l’Institut Eliava (Dr Zemphira Alavidze), s’adapte aux besoins actuels : recherche de nouveaux phages vis-à-vis de bactéries émergentes souvent multirésistantes (entérobactéries, Pseudomonas, Acinetobacter, entérocoques résistants à la vancomycine, mycobactéries…) et amélioration qualitative de la production (séquençages des phages…).

Des industriels (Pherecydes Pharma en France, EBI Food Safety en Hollande et Special Phage Service en Australie) spécialisés dans l’application de bactériophages thérapeutiques/prophylactique ont fait état de leur développement en recherche sur la phagothérapie (bactériophages utilisés dans l’agroalimentaire, bactériophages en vue de thérapeutique humaine, action des phages sur les biofilms).

Peu d’études expérimentales ont été développées en France ; elles concernent essentiellement l’infection respiratoire à Pseudomonas sur modèle murin (Laurent Debarbieux - Institut Pasteur de Paris).

La phagothérapie humaine est largement utilisé dans les pays de l’ex bloc soviétique ; le Pr Guram Gvasalia (chirurgien –urgentiste à Tbilissi et ancien médecin-chef de l’hôpital militaire de Gori – Géorgie) nous a fait partager sa riche et longue expérience, civile et militaire de cette thérapeutique presque centenaire, principalement dans le domaine des infections cutanées et ostéoarticulaires. Ce spécialiste a insisté sur l’impératif d’une étroite collaboration entre les disciplines (chirurgiens et/ou spécialistes, infectiologues et microbiologistes), l’association de l’antibiothérapie. Il a aussi souligné les limites de la phagothérapie. Les équipes de l’hôpital militaire de Bruxelles et du CHI de Villeneuve Saint Georges ont rapporté leur courte expérience, respectivement chez les brûlés et dans des infections ostéo-articulaires. Quelques autres pathologies où le rôle de la phagothérapie parait intéressante ont été abordées : infections chroniques respiratoires dont la mucoviscidose, infections aiguës digestives telles le choléra actuellement en pleine recrudescence à travers le monde, traitement (décontamination digestive, cutanéo-muqueuse…) d’infections/colonisation avec des bactéries multi-résistantes, enjeu majeur de santé publique du XXIème siècle.

Les débats ont permis d’aborder plusieurs applications médicales de la phagothérapie et ont révélé que de nombreux projets de recherches sont envisagés : phages et immunité, associations phages et antibiotiques, phages et biofilms, vectorisation des phages…

La réalisation d’un CD réunissant les diaporamas présentés et documents complémentaires comme une bibliographie est en cours de réalisation.

Un prochain rendez-vous a été fixé aux participants pour la fin de l’année 2011 avec le Centre Français d’Etude de la Phagothérapie (CeFEP) dont les principales missions seront de définir, d’harmoniser les protocoles thérapeutiques et de centraliser les données relatives aux traitements.

Alain Dublanchet, microbiologiste

Olivier Patey, infectiologue

GEEPhage, CHI Villeneuve Saint Georges

Encadré : rappel du principe de la phagothérapie.

La bactériophagothérapie (généralement appelée phagothrapie) est l’utilisation de bactériophages (plus simplement phages) pour traiter des infections bactériennes. Les bactériophages sont des virus spécifiques des bactéries. Il existe une spécificité d’espèce voir de souche selon les cas. Les phages utilisés sont strictement lytiques, c'est-à-dire qu’ils ne produisent pas d’intégrase nécessaire à l’incorporation de matériel(s) génétique(s) indésirable(s) et dangereux tels que gènes de résistance ou de virulence. Ils se multiplient très rapidement et de façon exponentielle dans le foyer infectieux en présence de la bactérie.

Certification HAS : du nouveau

Actualités de la certification
Nouveautés de la procédure
Retours d'expérience et chiffres clés
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mardi 12 avril 2011

Le LIEN salue l'évaluation de la HAS et la décision du ministre sur la fin de la lipolyse médicale par injection de solutés XXX dans les parties adipe

La lipolyse médicale, véritable eldorado pour quelques médecins industriels de la beauté, connait ses dernières heures.
Début2010, le LIEN alertait le cabinet de la ministre Roselyne Bachelot, sur les dangers de cette nouvelle pratique inventée par des praticiens non chirurgiens, pour contourner la règlementation limitant la pratique de liposuccion aux seuls chirurgiens et exigeant des conditions de sécurité que seul l'exercice en bloc opératoire pouvait satisfaire.
La ministre avait saisi la HAS afin de procéder à l'évaluation de cette nouvelle pratique opportuniste qui devait se révéler très lucrative pour quelques médecins de l'esthétique mais aussi très mutilante pour les malheureuses victimes.
Le LIEN avait été entendu par la commission d'évaluation présidée par Jean-Michel Dubernard à la HAS.
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12 avril 2009 COMMUNIQUE DE PRESSE de la HAS:
Interdiction des techniques de lyse adipocytaire1 à visée esthétique.
Les techniques de lyse adipocytaire proposées pour affiner la silhouette sont présentées comme détruisant la cellulite ou la graisse localisée. Elles sont invasives (laser transcutané, injection d’agents chimiques) ou non invasives (ultra sons, lasers, infrarouges, radiofréquence).
Le ministère chargé de la santé a eu connaissance de nombreuses complications graves liées à des actes à visée esthétique utilisant ces méthodes.
Aussi, a t-il demandé à la Haute Autorité de Santé (HAS) de réaliser une évaluation sur leur dangerosité.
Après avoir analysé les données disponibles et entendu les représentants de sociétés savantes (professionnels pratiquant les techniques, chirurgiens plasticiens, dermatologues, …) ainsi que les associations de patients, la HAS a rendu l’avis suivant :
- les techniques de lyse adipocytaire non invasives présentent une suspicion de danger grave pour la santé humaine ;
- les techniques de lyse adipocytaire invasives présentent un danger grave pour la santé humaine.
L’avis de la HAS est consultable sur le site HAS
Suite à cet avis, le ministre a pris un décret d’interdiction des techniques de lyse adipocytaire en application des articles L.1151-2 à L.1152-2 du code de la santé publique qui prévoient l’encadrement des actes à visée esthétique.

Nos commentaires :
nous sommes très heureux de cette décision; ce dossier qui intéressait si peu les médias est aujourd'hui à la une de la presse.
Espérons que la turbinectomie (mutilation des cornets antérieurs des narines) fera un jour prochain enfin l'objet d'une évaluation de la HAS; en attendant, elle continue de faire des victimes graves, pouvant les entrainer au suicide.

Et bonne lecture du Décret no 2011-382 du 11 avril 2011 relatif à l’interdiction de la pratique d’actes de lyse adipocytaire à visée esthétique:

Publics concernés : membres des professions médicales et paramédicales, esthéticiens et patients.

Objet : interdiction des techniques de lyse adipocytaire à visée esthétique présentant un danger grave ou une
suspicion de danger grave pour la santé humaine.

Entrée en vigueur : immédiate.
Notice : le présent décret tire les conséquences réglementaires de l’avis de la Haute Autorité de santé du 17 décembre 2010 en interdisant certaines techniques de lyse adipocytaire (destruction des cellules de stockage des lipides) à visée esthétique présentant un danger grave ainsi que les techniques utilisant des agents externes (ultrasons focalisés, lasers, infrarouges, radiofréquence) qui présentent une suspicion de danger grave pour la santé humaine.

Le Premier ministre,
Vu l’avis de la Haute Autorité de santé en date du 17 décembre 2010,
Décrète :
Art. 1er. Est interdite en raison du danger grave qu’elle présente pour la santé humaine la mise en oeuvre
des techniques de lyse adipocytaire à visée esthétique suivantes :
– lyse adipocytaire utilisant des injections de solutions hypo-osmolaires ;
– lyse adipocytaire utilisant des injections de produits lipolytiques (phosphatidylcholine ou déoxycholate de
sodium) ;
– lyse adipocytaire utilisant des injections de mélanges mésothérapeutiques ;
– lyse adipocytaire utilisant la carboxythérapie ;
– lyse adipocytaire utilisant du laser transcutané, sans aspiration.
Art. 2.Est interdite en raison de la suspicion de danger grave qu’elle présente pour la santé humaine la mise en oeuvre des techniques à visée lipolytique utilisant des agents physiques externes.
Références : les dispositions du présent décret peuvent être consultées sur le site Légifrance.






lundi 11 avril 2011

BAPTEM'AUTO SOLIDARITE 2011 POUR LUTTER CONTRE LA LEUCEMIE

le Lions Club International œuvre depuis sa création, pour les causes des plus défavorisés.
Etant aussi passionnés de belles et vieilles automobiles, le Lions Club Orléans Les Tourelles, organise conjointement avec le Club Lions St Denis de l’Hôtel et le Club des Ancêtre Automobiles) le 29 mai prochain, la 4ème éditions du Baptem’Auto Solidarité.

Cette manifestation permettra de réunir de nombreux véhicules, plus ou moins anciens, de sport et d’exception, afin d’organiser des baptêmes payants au public à bord de ces belles machines. Sera également organisée sur place, une vente aux enchères de véhicules de collection, ainsi qu’une bourse d’échange de pièces détachées.

Les bénéfices iront à l’Association Laurette FUGAIN (recherche contre les leucémies).

En savoir plus

En pièces jointes, l’affiche de cette manifestation ainsi que le bulletin d’inscription à retourner à l’adresse indiquée (avant le 10 mai 2011).

Venez nombreux participer à cette belle et sympathique manifestation.

vendredi 8 avril 2011

Programme de formation C2DS

Formation "Gestion des Déchets Solides Hospitaliers" : vendredi 2 avril 201 à BORDEAUX & vendredi 13 mai 2011 à LILLE

Formation "Infirmier / Aide-soignant & Développement Durable dans les gestes quotidiens" : jeudi 26 mai 2011 à PARIS

& mardi 28 juin à BORDEAUX

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